Questions orales du groupe PS au Conseil communal de Sambreville du 31 mars 2025
- PS Sambreville
- 27 mars
- 12 min de lecture
Dernière mise à jour : 30 mars

Les conseillers communaux du PS Sambreville ont à cœur de relayer au Collège communal les opportunités, préoccupations et interpellations citoyennes concernant notre commune. Voici la liste des questions qui seront posées en séance du Conseil communal du 31 mars.
Le Conseil communal peut être suivi en direct sur Youtube
*Découvrez chaque question en intégralité en cliquant sur la flèche > devant l'intitulé
1. Question orale de Madame Axelle BIZJAK, relative à la pénurie de médecins généralistes à Sambreville.
Ce soir, je voudrais faire comprendre au collège communal à quel point il est important de se pencher rapidement sur la problématique des soins de santé à Sambreville.
Bien que, selon l’AVIQ, notre commune ne soit pas reprise dans la listes des communes en pénurie, la réalité sur le terrain est bel et bien dramatique.
Vous devez savoir qu’actuellement, une part importante de la population sambrevilloise se trouve privée d’un médecin traitant.
Certains patients doivent contacter une dizaine de praticiens avant de pouvoir être pris en charge pour un problème urgent. La prise en charge chronique leur sera, elle, refusée.
Pire encore… les patients âgés, incapables de se déplacer, se voient refuser, jour après jour, une prise en charge à domicile.
C’est une réalité du terrain qui ne peut plus être ignorée. Nous sommes en train de progresser vers un isolement médical pour nos aînés et pour une partie non négligeable de la population.
Si nous envisageons d’augmenter le parc immobilier de notre commune, il est essentiel de se préoccuper de l’accessibilité aux soins de santé des habitants. Il s’agit d’un besoin fondamental pour toute société.
Il est donc crucial de lancer des projets en collaboration avec le PCS, le collège communal et les médecins exerçants à Sambreville afin d’améliorer l’accessibilité aux soins en respectant la réalité du terrain.
Que pouvez-vous proposer en ce sens ?
Avez-vous prévu, dans un avenir proche, de travailler en commun avec le milieu médical afin de soutenir nos praticiens et d’éviter une aggravation certaine de la situation ?
2. Question orale de Monsieur Nicolas VANDERGUCHT, relative à la gestion des frelons asiatiques.
Je me permets de vous interpeller suite à l'inquiétude de plusieurs citoyens concernant la présence croissante des frelons asiatiques dans notre commune. Ce phénomène suscite des préoccupations légitimes, tant pour la sécurité des habitants que pour la biodiversité locale.
Je souhaiterais savoir si la commune envisage de mettre en place des actions concrètes pour lutter contre cette problématique, notamment la distribution de kits d'éradication, comme cela a été fait dans d'autres communes. Ces kits pourraient aider les citoyens à gérer la situation de manière efficace et sécurisée.
Je vous remercie pour vos réponses
3. Question orale de Monsieur Cédric JEANTOT, relative aux effondrements de berges.
J’ai constaté qu’un effondrement s’est produit sur les berges de la Sambre à Auvelais et que d’autres endroits sur la commune montrent des signes de fragilisation évidents. Cette situation pose un réel problème de sécurité, tant pour les usagers de la Sambre que pour ceux du halage, où circulent quotidiennement des piétons, principalement des familles, ainsi que des cyclistes.
Le Collège communal est-il conscient de ces dégradations ? Une inspection a-t-elle été réalisée pour évaluer l’ampleur du problème ?
Par ailleurs, le Collège a-t-il pris contact avec le SPW pour vérifier si un cadastre des zones fragilisées a été réalisé et s’il existe un calendrier d’interventions prévu pour sécuriser les lieux ?
Il me semble essentiel d’anticiper toute situation à risque avant qu’un accident ne se produise notamment au vu de l'affluence grandissante que vont connaitre ces promenades avec le retour des beaux jours.
4. Question orale de Monsieur Cédric JEANTOT, relative à une possible fermeture du bureau de poste de Sambreville.
Des informations circulent (au sein du personnel de Bpost) selon lesquelles le bureau de poste de notre commune, serait menacé de fermeture au profit d'une relocalisation dans la commune de Jemeppe-sur-Sambre. Cette perspective est particulièrement préoccupante pour notre population, notamment pour les personnes âgées et les citoyens fragilisés, qui ont déjà subi la fermeture de plusieurs services de proximité, notamment les guichets bancaires. D’autant que Sambreville est la 2e Ville de la Province de Namur.
Les bureaux de poste ne se limitent pas à la gestion du courrier et des colis ; ils offrent également des services financiers essentiels, tels que des opérations bancaires. À ce jour, nous comptons 4 points poste sur notre commune dont le bureau voué à disparaitre. Les 3 points restant proposent une gamme de services variés et plus ou moins large d'un point à l'autre mais qui n'égale pas la globalité des services disponibles dans un bureau de poste traditionnel comme par exemple le paiement des pensions, les services financiers, la radiation de plaque d'immatriculation, le service de réexpédition, la location de boite postale ou encore l'achat de licence de pêche. L'offre Bpost se complète par des distributeurs de colis qui ne sont pas encore accessibles à toute la population de par la fracture digitale et qui, comme leurs noms l'indique, ne propose que la gestion des colis.
Le Collège est-il informé de cette potentielle fermeture ?
Des contacts ont-ils été établis avec la direction de Bpost pour comprendre les raisons de cette décision et pour discuter des alternatives possibles ?
Quelles mesures envisagez-vous pour maintenir ces services essentiels au sein de notre commune et éviter un appauvrissement de nos infrastructures locales ?
5. Question orale de Monsieur Jean-Charles LUPERTO, relative à une possible fusion de notre zone de police avec des zones voisines.
Monsieur le Bourgmestre,
Récemment, la presse a relayé la volonté du ministre de l’Intérieur de fusionner les zones de police à Bruxelles. Cette initiative viserait, dit-il, à améliorer l’efficacité des services policiers en renforçant la coordination et en optimisant les ressources.
L’article du 13 mars 2025 dans « La Capitale » intitulé « La fusion des zones de police à Bruxelles pourra en inspirer d’autres » souligne que cette réforme pourrait servir de modèle pour d’autres régions du pays.
Vous le savez j’ai souvent évoqué le caractère inéluctable de telles fusions. L’évolution actuelle semble confirmer cette prédiction , avec une volonté affichée du gouvernement fédéral d’aller dans ce sens.
Dès lors, afin d’éviter que notre commune ne subisse une réforme imposée sans y être préparée, je souhaite savoir si des initiatives ont été prises par l’actuelle majorité pour anticiper ce changement.
Avez-vous engagé des discussions avec les zones de police voisines en vue d’éventuelles fusions ?
Des contacts ont-ils été établis avec les autorités fédérales pour examiner les implications concrètes pour notre territoire ?
Quelles démarches sont prévues pour défendre au mieux les intérêts de nos citoyens et du personnel policier concerné ?
6. Question orale de Monsieur Cédric JEANTOT, relative au (non-) positionnement de Sambreville dans le cadre de l’enquête pour le renouvellement du permis de l’aéroport de Charleroi
Il y a quelques semaines, j’interrogeais le Collège communal sur l’absence de consultation de notre commune dans le cadre de l’enquête relative au renouvellement du permis environnemental de l’aéroport de Charleroi. Comme vous le savez, plusieurs communes voisines ont été interrogées et ont pu exprimer leur avis. Sombreffe et Fleurus, communes limitrophes à Sambreville ont d’ailleurs récemment émis des avis défavorable.
À ce jour, je n’ai reçu aucune réponse à ma première intervention. Je repose donc ma question : avez-vous reçu des informations complémentaires sur cette situation ? Notre commune a-t-elle enfin été associée à la démarche ? Si oui, pourriez-vous nous en informer ce soir ?
Par ailleurs, notre principale préoccupation est d’éviter que les lignes aériennes et les couloirs aériens ne soient déviés au-dessus de notre commune de manière plus intense, non seulement en raison des avis négatifs exprimés par les autres communes, mais aussi en raison du silence de notre commune, qui, à ma connaissance, n’a pas encore fait entendre sa voix. Avez-vous sollicité des informations ou des études d’impact précises pour évaluer les conséquences potentielles d’une réorganisation des couloirs aériens sur notre territoire ?
Lors de ma précédente intervention, le Collège m’avait indiqué qu’il allait se renseigner sur ce dossier.
Pouvez-vous nous dire quelles démarches ont été entreprises et quelles conclusions en ont été tirées ?
Le Collège envisage-t-il de prendre position officiellement sur ce dossier ?
Si oui, à quelle échéance et selon quelles modalités ?
Enfin, puisque notre commune n’a pas été consultée spontanément, avez-vous pris contact avec l’aéroport, la Région wallonne ou toute autre instance concernée pour faire valoir notre droit à être entendus dans ce projet ?
7. Question orale de Madame Carine DAFFE, relative à l’interdiction d’abattre des animaux à domicile
Monsieur le Bourgmestre,
Selon un article paru le 21 février 2025 dans La Capitale, la Wallonie prévoit d’interdire progressivement l’abattage à domicile des porcs, chèvres et moutons, comme c’est déjà le cas pour les bovins et chevaux.
Cette mesure vise à renforcer le respect des normes de sécurité alimentaire et de bien-être animal, plus difficiles à contrôler en dehors des abattoirs agréés. (Notamment la règle de l’étourdissement préalable).
Je souhaiterais dès lors connaître les dispositions que le Collège envisage de prendre pour mettre en œuvre cette mesure au niveau communal. D’autant que le Ministre-Président wallon a écrit à tous les Bourgmestres de Wallonie en leur demandant d’accorder une grande vigilance aux contrôles de terrain. Ce courrier précisait même comment vérifier que l’étourdissement préalable à l'égorgement a bien été respecté.
Des campagnes d’information et de sensibilisation auprès des éleveurs locaux sont-elles prévues ?
Des collaborations avec des abattoirs agréés seront-elles facilitées pour assurer une transition efficace et conforme à la législation ?
Quelles ressources seront mobilisées pour garantir le respect de cette interdiction et le bien-être animal sur notre territoire ?
Merci pour vos éclaircissements.
8. Question orale de Monsieur Jean-Charles LUPERTO, relative à la fin des nominations pour les agents communaux wallons dès 2026
Monsieur le Bourgmestre,
Selon un article paru dans La Libre Belgique le 21 février 2025, la Wallonie envisage de mettre fin aux nominations statutaires pour les agents communaux d’ici 2026.
Cette réforme vise à aligner les conditions d’emploi des agents communaux sur celles du secteur privé, en privilégiant des contrats de travail plutôt que des statuts à vie. Elle vise aussi dit-on, à gommer les différences entre agents contractuels et agents statutaires.
Cette réforme concernera directement pas moins de 125 000 agents communaux au sud du pays, ce qui en fait un enjeu majeur pour l’ensemble des administrations locales.
Cette évolution soulève des questions quant au financement des pensions des agents communaux. Actuellement, les pensions des agents statutaires sont financées par les communes, tandis que celles des agents contractuels relèvent du régime général des pensions. La diminution du nombre d’agents statutaires pourrait ainsi accroître la charge financière sur les communes pour honorer les pensions des agents nommés, sans l’apport de cotisations de nouveaux statutaires.
Je souhaite interroger le Collège sur les mesures envisagées pour anticiper ces défis financiers.
Des simulations ont-elles été réalisées pour évaluer l’impact de cette réforme sur le budget communal, notamment en ce qui concerne le financement des pensions des agents statutaires actuels ?
Quelles stratégies le Collège compte-t-il adopter pour assurer la pérennité financière de la commune face à cette transition ?
Des discussions ont-elles été entamées avec les autorités régionales ou fédérales pour envisager des mécanismes de soutien ou de compensation financière ?
Merci pour vos éclaircissements.
9. Question orale de Madame Frédérique LAMBORI, relative au label « commune volontaire »
La commune de Verviers est récemment devenue la première commune de sa province à obtenir le label « Commune Volontaire ».
Ce label, décerné par la Plateforme francophone du Volontariat, valorise les communes qui facilitent et encouragent un volontariat de qualité accessible à tous.
Je souhaiterais dès lors savoir si notre commune envisage de s’engager dans cette démarche.
Quelles actions le Collège a-t-il entreprises ou prévoit-il d’entreprendre pour promouvoir et soutenir le volontariat sur notre territoire ?
La commune a-t-elle l’intention de candidater pour l’obtention de ce label, et si oui, quelles mesures concrètes seront mises en place pour répondre aux critères requis ?
Merci pour vos éclaircissements.
10. Question orale de Monsieur Vincenzo MANISCALCO, relative aux estimations du nombre d’exclus du chômage chez nous
Selon un article de Sud Presse le 20 mars 2025, près de 6 000 personnes en province de Namur et dans la Botte du Hainaut pourraient être privées de leurs allocations de chômage en raison de nouvelles mesures fédérales. Sud Presse estime que 369 Sambrevillois seraient directement concernés par ces exclusions.
Ce chiffre a-t-il été vérifié par l’administration communale ou le CPAS ?
Dispose-t-on d’une estimation officielle permettant de mesurer l’ampleur du phénomène à Sambreville ?
Au-delà du débat sur les chiffres, cette vague d’exclusions risque d’accroître la précarité et d’exercer une pression supplémentaire sur notre CPAS. Le Collège a-t-il évalué l’impact de ces exclusions sur les finances communales et les services d’aide sociale ?
Quelles mesures concrètes le CPAS prévoit-il pour faire face à une probable augmentation des demandes d’aide sociale ?
Des ressources supplémentaires seront-elles allouées pour accompagner ces nouveaux bénéficiaires et favoriser leur réinsertion socio-professionnelle ?
Enfin, quelles actions le Collège envisage-t-il pour anticiper et atténuer les conséquences sociales de ces exclusions, afin de préserver la cohésion sociale et le bien-être des citoyens sambrevillois ?
11. Question orale de Monsieur Cédric JEANTOT, relative à la remise en état des trottoirs après chantier par des opérateurs extérieurs
Ces derniers mois, plusieurs opérateurs ont réalisé des travaux dans notre commune, notamment Proximus, qui a déployé la fibre à Tamines, et BATOPIN, qui a installé des guichets bancaires à Auvelais. Toutefois, après leur passage, certains trottoirs n’ont pas été remis en état à l’identique.
À titre d’exemple, BATOPIN a installé une pente d’accès pour les fauteuils roulants, ce qui est une bonne chose en soi, mais une fois la pente réalisée il manquait 15 à 20 cm de hauteur pour arriver sur le trottoir. Les ouvriers ont donc déformé le trottoir en formant une bosse. Résultat : les piétons risquent de se prendre les pieds dedans et la pente ayant été mal réalisée présente un danger pour les personnes en fauteuil roulant, qui pourraient se retrouver directement sur la route.
Quelle est la procédure en place pour le suivi des chantiers réalisés par des opérateurs privés sur notre territoire ? Un contrôle des remises en état est-il systématiquement prévu ? Ces opérateurs sont-ils bien priés de financer eux-mêmes la remise en état conforme des voiries après leurs interventions ? Enfin, le Collège envisage-t-il de renforcer le suivi des chantiers pour éviter ce genre de situation à l’avenir et garantir une meilleure sécurité pour tous les usagers de l’espace public ?
12. Question orale de Monsieur Jean-Charles LUPERTO, relative à la sécurité sur le site Saint-Gobain
Vous avez récemment communiqué, je cite, sur « une nouvelle dynamique de contrôle et de prévention sur le site Saint-Gobain ».
Dans ce cadre, je souhaite faire le point sur l’évolution de la situation depuis l’incendie qui s’est déclaré en juillet 2024.
À l’époque, le colonel des pompiers de la zone Val de Sambre et moi-même avions convoqué le propriétaire de l’entreprise dans laquelle l’incendie s’était déclarée. Ce dernier exploitait un hall dans lequel était stockés de multiples encombrants.
Lors de cette audition, nous lui avions fixé un ultimatum. Celui-ci disposait de deux mois pour procéder à l’évacuation complète des matières encombrantes stockés dans son hall.
Or, selon certaines informations internes au site, il semble que cette obligation n’aurait pas été respectée et que l’état des lieux serait resté inchangé.
Pouvez-vous me confirmer si cette évacuation a bien eu lieu ?
Dans le cas contraire, et sachant les risques sécuritaires que créent ces amoncellements de matières de toute nature, pourriez vous nous préciser les raisons pour lesquelles l’ultimatum posé n’a pas été respecté ?
Je vous remercie pour vos précisions.
13. Question orale de Monsieur Nicolas DUMONT, relative au bilan de la semaine de propreté
Monsieur l'Échevin de la Propreté publique,
J'ai pu voir sur le réseau social Facebook de la ville de Sambreville une publication du 7 mars annonçant que, du 20 au 23 mars, Sambreville participerait au Grand Nettoyage de Printemps organisé par Be WaPP ! La première partie de ce post invite, avec un jeu de mots sur "Ensemble", les citoyens, écoles, clubs de sport, entreprises et associations à participer à cette belle opération.
De plus, je cite : "Du 24 au 28 mars, la Semaine de Propreté communale prendra le relai, avec l’intervention de nos équipes communales, des Gardiens de la Paix et des agents constatateurs, pour un nettoyage en profondeur de notre territoire."
Dès lors, pourriez-vous me dire quel est le résultat du Grand Nettoyage de Printemps ? -Je souhaiterais connaître le nombre de participants, les sociétés concernées, le poids des déchets récoltés, ainsi que le temps que nos services techniques et les Gardiens de la Paix et agents constatateurs auront consacré à cette opération.
Je ne souhaite pas oublier non plus les écoles et les autres acteurs qui auront participé à cette occasion.
Merci déjà pour vos réponses.
14. Question orale de Monsieur Jean-Charles LUPERTO, relative au projet FEDER lié à la rénovation en surface du pont de Tamines
Monsieur le Bourgmestre,
Dans un article de l’Avenir du 22 mars dernier, il est mentionné que le projet de rénovation du pont de Tamines, financé par des fonds européens, pourrait être remis en question en raison de problèmes structurels de l’ouvrage d’art.
Or, ces fonds sont spécifiquement destinés à l’aménagement en surface, à la connexion avec le RAVeL et à la création d’une bande pour cyclistes et piétons. Il serait regrettable de voir ces subsides européens perdus faute d’une vision globale et d’un engagement régional pour traiter les enjeux structurels du pont, d’autant que les fonds dont nous avons été captifs serviront, en réalité, à aménager un ouvrage d’art qui appartient au patrimoine régional.
Dès lors, pouvez-vous nous assurer que la majorité défendra activement le maintien du financement européen et entreprendra les démarches nécessaires auprès de la Région afin d’obtenir des fonds complémentaires pour les travaux structurels, garantissant ainsi que le projet initial puisse être mené à bien dans les délais imposés par l’Union européenne ?
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